Vous avez sûrement entendu parler de ces manifestations en Iran, n’est-ce pas? Et bien, samedi dernier, les forces de sécurité iraniennes se sont montrées particulièrement agressives. Figurez-vous, elles ont même arrêté le père de Mahsa Amini pendant un temps. Ce nom vous dit quelque chose ? C’est cette jeune femme dont la mort tragique l’an dernier a littéralement fait bouillir le climat politique.
Arrestations contestables
La Garde révolutionnaire avait fort à faire. Elle a mis la main sur un individu possédant deux passeports, accusé d’avoir semé la discorde. Et ce n’était que le début : d’autres soi-disant « contre-révolutionnaires » et « terroristes » ont été mis sous les verrous.
La nuit tombe, l’agitation monte
Avec la tombée de la nuit, les forces de sécurité étaient omniprésentes, surtout dans les zones kurdes. Certes, elles ont réussi à contenir les grandes manifestations, mais, d’après les initiés, il y a eu quelques accrochages par-ci par-là.
En souvenir de Mahsa
Mahsa Amini, à seulement 22 ans, a été arrêtée pour une raison aussi futile que sa tenue vestimentaire. Son arrestation a déclenché une immense vague de protestations. Sa mort tragique est devenue un puissant symbole de résistance, provoquant l’indignation à travers le monde.
Récits contradictoires
Même si le régime prétend que tout est sous contrôle, des vidéos circulant sur les réseaux sociaux racontent une toute autre histoire. À Téhéran, par exemple, on peut voir des foules protester pendant que des voitures klaxonnent en signe de soutien.
Révolte généralisée
Les manifestations et agitations en Iran ne sont pas limitées à une seule région. De la ville natale d’Amini, Saqez, à des métropoles comme Téhéran et Mashhad, le cri unanime est le même : « Mort au Dictateur !« . Et pendant ce temps, l’IRNA (les médias d’État) essaie de nous faire croire que tout est paisible. Vous savez comment cela se passe : à qui voulez-vous vraiment faire confiance ?
Réactions mondiales
De Washington à Londres, le monde entier observe. Manifestations, sanctions et même un mot de soutien du président Biden, qui déclare : « L’histoire de Mahsa n’est pas terminée. Elle a lancé un mouvement. »
Résistance locale
Il semblerait que le régime fasse tout pour étouffer les voix. Amnesty International rapporte que les autorités ont arbitrairement arrêté des victimes et leurs familles. Et ceux qui osent manifester? Ils ne sont pas épargnés non plus.